Toi et moi, c’est comme le jour qui se lève
Toi et moi, c’est comme la nuit qui s’achève
Regarde-moi, regarde-toi, regarde tout ce qui t’entoure
Et dis-moi combien de temps passera
Toi et moi, c’est comme le ciel et la terre
Toi et moi, c’est comme l’ombre et la lumière
Écoute-moi, écoute-toi, écoute tout ce qui t’entoure
Et dis-moi combien de temps restera
Toi et moi, c’est comme un rêve, un éden
Toi et moi, c’est comme l’amour sans la haine
Emmène-moi, emmène-toi, emmène tout ce qui t’entoure
Et dis-moi combien de temps toi et moi
Toi et moi
Mais toi sans moi, c’est comme un chanteur sans voix
Mais toi sans moi, c’est comme…
Toi sans moi, c’est comme partir loin là-bas
Toi sans moi, c’est comme rester, je sais pas
Pardonne-moi, pardonne-toi, pardonne tout ce qui t’entoure
Et dis-moi combien de temps il faudra
Dis-moi que la vie sans moi n’est pas facile, difficile
Dis-toi que la vie sans toi n’est pas facile à passer
Dis-moi que la vie sans moi n’est pas facile, difficile
Dis-toi que la vie sans toi n’est pas facile à passer
Toi sans moi c’est comme
Sans toi c’est comme
Moi c’est comme
Toi
Critique :
« Avec ce titre, Gauthier Galand propose une parodie humoristique d’une chanson à l’eau de rose. Dans cette ballade soutenue par un violon, le chanteur reprend des poncifs, « toi et moi, c’est comme le ciel et la terre », « toi et moi, c’est comme l’ombre et la lumière » ou « toi et moi, c’est comme l’amour sans la haine ». Le clip accentue cet effet parodique avec des séquences tournées dans des lieux romantiques : une plage, Venise et ses gondoles et des paysages idyliques. Ce jeune artiste est connu pour un autre titre pastiche « La vie en vert ». »
Version karaoké :
Version moyenâgeuse : Godefroy le Galant – Vous et moi :
1425, Royaume de France…
Sur la route de Compostelle
Vous m’apparûtes, jouvencelle
Tellement jeune, tellement belle
Que je fis de vous ma proie
J’eus envie de vous faire la cour
Comme d’autres chassent à courre
Sur le champ et sans détour
Je vous tins ces propos là :
« Vous et moi, c’est comme, muse et poète
Vous et moi, c’est comme, buse et chouette
Regardez moi, et cédez moi
Oui, laissez mes bras vous entourer
Dîtes moi qu’entre nous Ah ! ça ira
Vous et moi… »
À ces mots doux, je crus qu’elle
Succomberait ma demoiselle
À mon charme naturel
Mais ce ne fût pas le cas
Je préfère, me dit-elle
A jamais rester pucelle
Qu’on me brûle, qu’on m’écartèle
Que finir dans vos bras
Sur la route de Compostelle
Vous disparûtes, jouvencelle
Je repartis de plus belle
Quérir ma nouvelle proie.